Il a déboulé de Toulouse, nan c’est pas Biggie ni Oli.
J’le lis jusqu’à pas d’heure, j’risque le torticolis.
Ses livres me captivent, alternatives aux prix Goncourt,
Qui captent un large public, loin devant leurs bêtes de concours.
La rentrée litté m’émoustille, ça fourmille d’idées dans ses pages.
Coup d’pied dans la fourmilière, décidée j’reste plus alitée et je pars en voyage.
On rentre dans son univers et on en ressort grandi.
Des concepts de sage, à la Mahatma Gandhi.
Spiritualité paranormale, philosophie-fiction.
Même si ça parait pas très normal, il remet en cause la Création
Dans une fable utopique, voguant sur le Papillon des étoiles,
Il tisse des topissimes symboliques et on s’laisse emmurés dans sa toile.
Pentalogie du ciel truffée de cryptages sur les chiffres, les animaux et l’Histoire.
Une fois décodé, ce cycle crie la vérité à nos pauvres âmes et nos pendantes mâchoires.
Par pitié, que la pythie Cassandre ne me prédise rien et ne me dépite pas plus encore.
Qu’elle retourne devant son miroir, ses yeux grisés d’un pouvoir de te-pu sans garde-du-corps.
Catalogué pseudo-scientifique, mytho futurologue,
Rien à battre de la logique, sur l’arbre des possibles je me logue.
Anticiper les futurs, avant d’être coincé dans un sixième sommeil.
On n’pourra pas faire reset, pas envie d’jouer à Sliders les mondes parallèles.
Respect Bernard Werber, le Jules Verne des temps modernes.
Je rêve et réverbère tes propos, je lève mon verre à tes balivernes !
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NB : des références à l'oeuvre de Werber (les fourmis, le livre du voyage, la pentalogie du ciel = cycle des anges + cycle des Dieux, le miroir de Cassandre, le papillon des étoiles, le sixième sommeil, l'arbre des possibles qui est aussi un site internet sur lequel on peut imaginer le futur possible de l'humanité)