Il était une fois une dépression qui a pointé l’bout d’son zen
Les pressions, les bouteilles, direct dans l’foie qui a pu me rendr’ plus zen.
Mais attention, trop d’coups dans l’zen et c’est l’retour de bâton
Retors : ascension vers l’Eden, je redescends pour une baston.
Peinarde avec mon pinard, pourquoi la tise me met des coups d’pression ?
Sans prévention, elle attise les envies d’meurtres envers les mecs en caleçon
Catapultés pour tirer leur coup, meurtrir mon corps et décrocher ma chair.
T’approche pas, endors-toi, sinon j’te redécore pour pas cher.
J’peux être violente envers toi, envers moi, envers nous.
Ma destruction la corde au cou, violacée, trace et prends tes jambes à ton cou.
Une relation, je n’en serai pas capable.
Sous tension, je me sentirais trop coupable.
De te faire miroiter un corps que tu n’peux pas avoir.
Branle-toi d’vant l’miroir et remballe ton faire-savoir.
Agression textuelle, mais tu rêves plutôt de textos sensuels.
Tu peux pas test, bon gré mal gré, j’te fais ta fête et après ma tête de pucelle.