Je commence l'énonce de mes quelques phases
On m'annonce que mes assonances foutent la rage
Et ma prose vertueuse s'abat, en dissociant,
Les dissonances de faux virtuoses qui s'débatte
Pour ma défense je ne suis pas armé, aucun fusil
Ils s'étendent à s'acharner sur les plus démunis
Ils sévissent avec des maladies auditives
Additives pour les mâles aux vices terrible
On me supplie de faire souffrir ce rap fébrile
Car chacun lâche un soupir sur ces tristes supplices
J'unie les rimes de ma fiche pour la satire de ces pitres
Et muni de ma mine sauve la mise puis détruit ces types
On a cherché l'oasis de l'espoir appâté par l'appel de nos rêves
Être assoiffé de victoire vaut plus que de s'hydrater à la défaite
En pensant vouloir raviver nos vies on soupire en continu
L'individu doit mourir de rire pour revivre éternellement
Je me pète à l'arsenic puisque quelques gouttes suffisent
Sublime est le groove de ces textes à l'art technique
Une discorde puis le flou, les fuites du temps et la haine répandue
La corde au cou mais j'suis vivant grâce à une veine de pendu
La majorité des wacks donne leur foi sans complexe
Ce texte est un grand doigt d'honneur à l'impact majeur
Inscrire mon point final pour frapper les consciences.