Accablé dans un coins d'sa tête, jeune gentil devnu sale camé
Qui attend l’accalmie, si loin d'eux mais jvoi trop de sale tapette
Sa va mieux, j'le dirait ptétre, un d'ces jouuur quand j'le pensrais
La je danse dans un feux d'joie sur un sol fait avec ma peine qui m'sert d'engrais
Tu te pense supérieur, a un animal, grosse erreur, remballe
Ta fierté, stupide humain toi que l'argent a berné, monnayeur
Ramasseur de balle a viiiie, tu bave sur un avnir
Que t'arrive pas a tniiir, tu rame en croyant naviiigué..
Mon coeur c'est comme le temps, je sais qu'je l'ai
Mais il est impalpable, je continue, j'avance sur mille et un tas d'vague
J'essaie, d'être un rieur insatiable, jamais punisseur
Mais plus riche d'heure, dés que le soleil se lève et rejoins ma table..
Elle n'existe pas, mais pour moi seul un vrai homme a l'âme
Mélomane maniant un tas de mélodrame
C'est toujours du nouveaux quand j'rap, dans du cellophane
Je chéris, mes meuz, c'est la plus grande merveille que j'érige
Traîtrise et ruse, je ré-pulse, j'aurais pu, finir ternis
Par ses pute ou ces type que seul l'ordi et la télé éduque très vite
J'sais qu'ils le méritent, aucun effort fournis pour voir plus loin
Qu'les média inventent des soucis alors qu'dans l'océan des peines il sont tout pti c'est pédales
Tu porte la couleur évoluée de tes ancêtres passé, tes actes doivent être censé
Car ceux, qui te verrons agir mettrons tout tes frères dans un même paquet
Sa pue la merde mais c'est ainsi, j'insiste, joué la racaille c'est bien
Mais il assimilerons les braves gars au galérien et kadnassron les liens
Réfléchissez, le mal fait gratuitement seras punis, et même si indirectement
Les coups que vous porté, et les slogans, contre vous colporté seront unis.