Si vous avez une idée de titre ce serait relativement cool (tous ça avec des avis évidemment ;) )
la fumée est comme liquide, le monde dénué de sens,
mes capacité cognitive se dillue au fils du temps,
des sourires immenses tapisse ma mémoire,
les yeux vers les étoiles,c'est le soulagement iminent,
typiquement, on reconnait son odeur si douce,
se réveillant a demi jour, avant d'y revenir divinement,
j'suis titubant, les yeux a peine entre-ouvert j'apperçoit le soleil,
presque irritant, mes pupille dilatée se rétracte avec peine,
j'suis mon seul adversaire,comme un de ses jeux d'gamins,
les yeux couleur carmin, mais pourtant sans alergène;
dans ma tête c'est l'après guerre, mes idées sont en bordel,
j'décide de gratter un texte histoire de mettre les choses au clair,
cette beauté venu du sol ma transporté dans la troposphère,
j'laisse allé mes envie corporelles, pret a devenir homme-objet,
change de sujet, ça va plus j'me met a parler d'sexe,
c'est vrai qu'avec la zeb mes pensé coule car trop homogènes,
J'suis comme dans un rêve, quand on cherche la réalité est si belle,
j'roule conne de teinte verte, ma gonsesse, la nature est si parfaite,
loin d'être un toxico, j'tente juste d'apprécié la vie,
j'suis dans un délire polymorphe, lcerveau épipélagique,
la vie ne suit pas un story board, on se lasserait vite,
quand ya d'la musique, je chante comme un rossignol,
la fumée omniforme,des thricomes horticoles,
un oxymore, qui s'impose a moi quand j'somnole dans l'corridor,
s'extasier sur le monde ne boost pas les bonne notes a l'école,
mais dès que ça parle weed je devient polyglotte,
Un chillum, d'opium, la drogue dure saigne ton crane,
avec mon herbe j'suis juste a un pouillème,de la victoire,
fumée blanche comme l'ivoire, j'ai rien a envier au crack,
je marque mon térritoire, megot d'oinj dans le fumoir,
crépuscule couleur turquoise, on vert malsain,
leur question préféré pourquoi fume tu des joint?
seul réponse a apporté, essaye et tu verra,
avec l'aide de marijeanne le monde entier est a ma portée
J'suis comme dans un rêve, quand on cherche la réalité est si belle,
j'roule conne de teinte verte, ma gonsesse, la nature est si parfaite,
Comment passez a coté dans ma ville fleurie?
tel un piano désacordé tout plein de pensée filent,
calciné, ces somités n'est pas un kiffe de riche,
la qualité requise, me fait revivre, c'est un honneur,
comme sur un tapis d'feutrine, entouré d'un voile de satin,
pris de secousses hypniques, j'bade au bruit de ses escarpins,
Elle sourit et pète un joint, moi j'lutte pour ouvrir les yeux,
reroule un joint d'beuh,et plonge mon regard droit dans le siens,
un frisson dans mon corp, quoi de mieux que du sexe sous weed,
la verte sous-vide, pour mieux en préserver l'odeur,
après ça j'oublie, laisse place a la fatigue,
au spasmes cérébral qu'elle me fait subire,
a chaque fois j'bad, et a chaque fois je vibre,
la cendre noiratre, dans le cendar parait sans vie,
et a chaque fois qu'j'planne a chaque fois que j'tire,
j'laisse place a la nature dans mon esprit