Pantin du destin,
assis je parle les yeux criblés de rêve,
là ou le cœur vit d'espoir noir mêlée de sang,
abat un aveugle d'une balle dans l'oeil,
l’ahurissement du vice me paraît plus vrai que la virginité d'une femme,
comme de flotter dans un ventre inondé d'alcool étrangler au cordon,
pendu par la raison je les observe Dieu ma maudit d'un coeur,
marchons buvons parlons de ce que nous ferions,
pourvue que nous soyons pourvues de vue fuyait,
j'ai bue j'ai vu je n'ai rien vaincue car il n'y a rien,
hérésie poésie à quoi bon dansons le chant des cygnes,
promenons dans la rue tant que les flics ni son pas...