Bonsoir à tous, pouvez-vous me donner un avis sur mon texte ? Laissez un lien dans le commentaire et je passerai sur vos textes. Petite info, je ne compte pas poser ce texte sur une instru. Peace.
Laissez-moi vous conter, un véritable cataclysme.
Effroyable comme l'ombre satanique et sa gourmandise.
Il est vérifiable au nombre de larmes qu'il m'a fait couler
Symbole d'une époque, où j'étais au fond du gouffre.
Je me suis relevé, lors d'un fragment de seconde écoulée.
Mais autant le révéler, en douce encore au fond j'en souffre.
Je voulais vraiment m'en sortir et finalement sourire.
Mais attristé, je persistais à pousser des soupirs.
Restant accroupi à croupir et à amortir les coups durs.
En espérant finir par les battre à plate couture.
Entre les murs, je n'ai fais que subir mes coups de démence.
En me disant, oui la roue tourne c'est sur mais dans quel sens ?
Au lendemain de tous ces soirs exprimant mon désarroi.
Je m'levais chaque matin, dans l'espoir de dénicher la joie.
Je sais que j'ai commis mainte erreurs, mais je suis resté droit.
Je m'étais promis de défier ces contraintes sans effroi.
Sans craintes, j'ai gardé mon sang froid et dicté mon rythme.
Cette réalité je l'ai gratté dans mon cahier de rimes.
Laisser des lignes de mots, c'est le seul moyen d'exister.
Bien que j'ai calmé mon ego, celui ci continue d'exiger
Un futur sur, convenu, que moi seul pourrait ériger.
Car c'est dans cet avenir à venir que je vais m'exprimer.
Je sais qu'aucun individu n'est perçu comme parfait.
Mais j'ai le cran de parler des actes que j'ai perpétrais.
Et c'est quand je crayonne cette personne que j'ai été,
Que j'ose m'imposer d'en être le parfait opposé.
A partir de cette histoire, j'ai forgé mon style.
Forcé par le vice, c'est tous les soirs que j'avais le spleen.
Tiré par le triple six dans ses abîmes morbides
J'ai rebondi car je trouvais l' idée d'oubli vraiment sordide.
La même rengaine, vous crachiez votre haine sur mon âme.
A tort et à mal, vos cordes vocales étaient vos seules armes.
Pourtant, tous vos propos m'ont jamais laissé sur le carreau.
Sans jeux de mot Deen, je vis le présent comme un cadeau.
Je m'suis défilé, décidé à faire une croix sur l'agonie.
J'vois un avenir sans avanie, où je me 'suis assagi.
A titre indicatif, c'est ma vie que j'ai retracé.
Marqué par le défaut, j'ai donc du utiliser
L'indicatif imparfait.