Deux milles treize, les rires cesses ,l'horloge a fait un tour de plus, l'oracle à eu un tour de plus
une nouvelle page ou la nature a faussé les pronostic, ou les prophètes sont faux dans leur prophétie
j'avance comme un survivant, non plus comme un vivant, je griffone a dos de griffons une polémiques insouciantes
une histoire de plus à transcrire dans les périodes, une histoire de plus à retracer a nos idoles
les sauveurs seronts les faibles la cupidité le tyran, l'industrie du capitaliste sera le tombeau de ces possédants
j'ai eu mon temps de révolte, j'entame les prolongations, ce que je veux c'est d'faire face au interrogations
objection! je suis ni la réponse ni la solution, mais postulant au énigmes des questions sans réponses
si je me porte volontaire à l'instruction du savoir, ce que j'attends de voir, c'est LA force du pouvoir

REFRAIN :

2eme couplet, qui seronts les survivants? jette la pierre à autrui, je crache sur des misérables a col blanc,
le col blanc me monte a la tete, t'es pas surpris de me voir, mais de savoir que je n'tire jamais à blanc
disproportions des races, comme minorité visible, j'inverse les rôles je vous clame majorité invisible
à vouloir etre symbolique, héroique, attelant des principes hypocrite, je vous écris cette polémique
si je marque des points c'est qu'le score n'est pas en ma faveur, il me demande de me taire voila leur ferveur
voila leur vrai labeur, c'est d'inhumer la vérité et toutes ces pieces jointes comme étant le garant du meurtre
j'apporte l'arme du savoir, terroriste de la vérité, mes crimes sont courronné, mes armes un bic et du papier
si je me porte volontaire à l'instruction du savoir, ce que j'attends de voir, c'est LA force du pouvoir
Celui qui porte la culotte, laisse le prendre sa déculotté, laisse le comprendre que tout cette merde n'est que d'la camelote
je ne suis pas le marchand de sable, mais celui de la vérité, je viens jouer carte sur table , celle de la vérité
super héros, mes valeurs sont justicier, parolier, avocat de la bonne cause, ils veulent me mettre sur pause!
qu'ils amplifient le débat d'la liberté d'expression, mon mustime sera leur rédemption
je suis l'ufo du rap, un molosse qui gueul sa gamelle, celui qui réclame sa part du gateau irréel
mes attentes sont grossier, une polémique insouciante, l'insolence est justifié, chronique de l'inconsciense
j'écris cet élan d'amertume dans mon vergers de poussiere, ou la haine à eu son parcours exemplaires
si le destin était manuscrit on oublierait le courage, on sera cette graine d'ou pousse cette fleur sauvage

REFRAIN :

Juste des propos ou l'état a mis ces mains sales sur mes notes, juste une vérité qui veut émerger pour naufrager sur nos cotes
une main lourde sur le stylo qui peine à débuté, revendique si tu veux, mais celle ci vas se faire révéler
celle ci c'est pas le jeu ou tous les pions sont tenus par vous, ma dépendance je la baise sous les draps coups pour coups
je suis ce corbeau solitaire qui fixe la mort sans aucune vocation, rien de tout sa n'est exutoire de la passion
rien n'a changé car la balance est résté du meme coté, ce couplet est un poids de plus pour venir l'égaler
mon couplet est persistant est veut dire de ne plus etre morose, juste qu'on est des mauvaises graines que l'état arrosent
je vise pas la perfection, mais je viens drainer des vocations, ma dictature est de révoquer des convictions
des réformes économique pour combler les mauvaises poches, uniformes académique pour flatter les meilleurs hommes