Toujours courir plus loin une promesse que je realiserais demain,
tu fais les cent pas dans une piece à peine plus grande que la chambre des voisins,
Vous tenez à 5 dans une salle pour 2, toi tu taf comme un chien mais tu prend de l'âge, tu te fais vieux.
La maladie prend contrôle de toi et tu n'es pas une exeption, tu connais la fin de l'histoire t'as eu une vie de chien, une vie de soulard.
Tu reste sur ton canapé refusant de bouger, d'aller travailler, ta famille crève de faim et tu n'donne plus un seul coup d'main,
ta vie te lasse tes gosses te stresse ta femme ne vie que par les strass et les pailletes,
moins de 50€ par mois et elle espère vivre comme une princesse,
Elle travaille pas, fais pas l'menage ni la cuisine, crois te tenir en laisse,
elle traine de lit en lit et paye ses factures grace à ça, elle ne te le dit pas mais tout le village le sais,
pour de l'argent elle serait prête à faire n'importe quoi, la pauvreté la rendue folle,
Pendant ce temps tu t'laisse crever avec ta bouteille d'alcool, dans cette piaule où les controles sont aussi courant que le manque d'eau.
Les gens  regardent ta femme dans la rue et la traite comme une michto.
Entre bouteille et medocs t'as vraiment toucher les gros lot,
ce flingue charger qui se depose sous tes yeux, tu le prend et regarde une dernière fois la photo de ton dernier, Matthieu.
Tu la retourne par lacheter, et t'appuis sur la gâchette, c'etait ta dernière ovation.
Ta femme s'est remarier et tes gosses on sombrer peu a peu dans la delinquance,envoyé  en maison d'corection.
Le petit Matthieu demande souvent, où est papa. Sa mère lui dit les mains tremblante que tu ne reviendras pas,
Et puis Matthieu ne comprend pas.