Par impatience de pouvoir oublier je pose mes yeux sur ce calendrier
Je compte, j’écrase mes journées comme des megos dans un cendrier
Sous des questions "est ce qu'elle va revenir ?"
"est ce que je retrouverais le sourire ?"
Je vois ses anciens mots gravés sur ma porte de chambre,
J'aurais voulu qu'ils le soient dans son cœur maintenant remplacer par d'la cendre
Un amour qui se dissipe avec l'age, la remonter est rude
Sachez qu'on tourne pas une page avec le poids de la solitude...
Parfois impression d’être incompris à leur yeux c'est pas si dure
A me faire croire que mes fractures ne sont que des foulures..
Encore un texte sur elle,
Quand on perd notre essence,
On en perd nos ailes,
On fini par perdre nos sens.