J'ai rien à dire pourtant j'reste conscient d'vant l'absurde
Les maladies , les ouragans ma conscience doit absoudre
Du mal à l'dire, les outrages dans le sang ou la poudre
Pas adeptes  du défiler de vos infos faussées coutumières
J'perds le file dans s'fossé , ouais j'suis pas couturière
Pas prêt à en découdre , plus d'coeur sous la boutonnière
J'suis prêt à encaisser les coups jusqu'à ce que mes pecs y passent
Je vois le mal insister mais l'corps reste solide comme du plexiglas
Il y à plus d'chaleur humaine dans s'monde que mes plaies s'y glacent
Les infos parlent en millions pendant qu'la plèbe galère au RSA
Voilà qui en dit long, sur cette planète de merde l'air est sale
Bas les couilles de briller si c'est pour partager leur piédestal
La douleur mémorable n'est que l'ombre de leurs coutumes  
La couleur de mon moral aussi sombre que leurs costumes
Dieu n'a t'il pas dit qu'il n'existe pas de roi sans peuple
Seul le peuple est roi voilà comment nommer le sample
Simple mais cette phrase de notre salut est le temple
J'ai gardé ma candeur et le droit d'être pessimiste
De survivre à leur guerre jusqu'à ce que la paix s'immisce
Qu'ils arrêtents de jouer les Damoclès que sur nos têtes l'épée s’éclipse

FRV100 a écrit:

Pas d'avis ?

Le jour que j'ai le temps... je n'aurais jamais le temps...