la nuit la vie s'en va à toute allure les année passent sans un regard sur le passer,
un passer imparfait s'agite dans l'inconscient d'un fugitif tu peut être vif la vie te foudroie,
crois en la gloire espère la mains de ton prochain que le sourire sournois te surprend au foie,
nombres de foi j'ai rêver les yeux ouvert je n'est vue que poussière et mince vague,
celle qui porte sa bouteille le soir le ventre marquer de multiple naissance laissant leur marque,
à la tache l'alcool n'y aide pas de notre naissance à la fin l'alcool l'auras sur ta faim,
d'un amours elle déborde mais le verre lui laisse un goût amère au bout de la langue,
ce dessein ressentie au fond de ma chaire car les crie je les est pousser de son eden,
la nuit la vie s'en va à toute allure les année passent sans un regard sur le passer.