Ta poésie s'attache à des règles en manque de créativité ma plume te délivrera de tes chaînes,
mes racines sortent de terre donnent naissance au chêne et pointe vers le ciel,
cloisonné par autrui il en perd sa valeur à vouloir la consonance 'for'mité,
des cieux en oubli l'unité du coeur et pour une assonance se branle sur une percussion, et sa demeure s'étend sur le vaste monde hypocrite,
pâle plume en perd sa source même de création,
poète libre d'esprit en demeure prisonnier de l'albatros,
l'esprit est la clé de cette arthrose,
lui demeure libre quand bien même le corps se meurt
et la répétition vaut bien mieux que la perdition à perpétuité l'âme se meurt loin de ses prairies d'esprit
où l'âme trouve son repos loin de ses écritures infâmes et de cette femme au coeur de glace qui fond
aussi vite que l'hypocrisie face au feu de la vérité spontanée qu'est la vie
le fond donne naissance à la forme pour ceux qui s'attachent s'attardent au superflus, celui qui voit le fond de l'océan connaît une partie de son avenir, la suite est invisible perdue dans l'abysse et demeure un mystère
con'sonance con'for'mité