Merci Zarhaf ton avis fait plaisir !
Noowam le tien aussi, la mixtape devrait être dispo d'ici la semaine prochaine j'pense, mais on verra bien ^^
Contamine, je te remercie de ton avis, ça fait également plaisir de lire ça, tu résumes bien le travail accompli sur cette légende !
Voilà les paroles comme demandé :
Es-tu prête à passer une soirée mémorable ?
A te caler sur mon nuage quand peut s’lever l’orage ?
A réchauffer l’climat, quitte à chasser l’hiver,
Ce soir le tigre sort pour te bouffer l’hymen,
Crois-moi, te faire souffrir, on peut tous le faire,
Oublie ton ex, va lui casser sa couille de verre,
A la vue de tes hanches, la grande foule se lève,
Fuck femmes et enfants, moi j’veux ton boule de rêve,
J’inventerai ton bonheur, j’ai l’esprit visionnaire,
J’t’amènerai au bout du monde, j’serai ton missionnaire,
J’tiens la reine en échec, tu peux passer deux tours,
Quand nos consciences se perdent dans des aller-retour,
J’serai le premier homme qui enlèvera tes draps,
La petite porte de derrière, près d’la cathédrale,
On fera voguer nos rêves et l’oseille sur l’eau,
Mon esprit va s’caler sur tes soleils jumeaux.
(Refrain)
Sanguinaire j’te la glisse même quand t’as tes gleré,
Je te ferai rire, je te ferai pleurer,
J’te donnerai la vie, la vraie, l’envie d’aimer la vigne,
Toutes les terres peuvent trembler, quand l’aimée, là, vibre,
Quand j’me libère de tes yeux, tu ressens un méga vide,
J’tolère aucune vague de larmes sur un d’mes navires,
Amoureux, j’t’aime à vivre, j’veux surtout pas crever,
Je te ferai rire, je te ferai pleurer.
Vingt années d’silence, j’t’invite à mon enterrement,
Adieu la vie d’garçon, j’vivrai pour toi entièrement,
Adieu l’paquebot, on gagne un appart’ et un canot,
Ce dont tu rêves fait trois fois la taille d’un anneau,
Nos soirées sont banales, plus besoin qu’envie,
Mais l’amour ne se plaint pas, tant qu’il reste en vie,
Puis la routine, la passion finit par s’oublier,
On était mieux avant, quand rien ne nous liait,
Alors on se ment, on cherche l’étincelle disparue,
Dans d’autres corps, j’les enchaîne dix par une,
J’les aimes grandes, bien lotties dans de viles parures,
C’est quand ta beauté flétrissait que le vice parut,
On finit par se détruire, chacun refit sa vie,
J’voulais qu’on garde le cap là où les filles chavirent,
C’est un corps sans cœur que toutes les dames charmaient,
J’enveloppe mes désirs dans cette poésie charnelle.
On voulait vivre la grande vie, on a vécu la mort,
Suicide empoisonné, notre pièce a une fin amère,
On n'a jamais su combien coûtaient ces actes,
Alors on tourne en rond, perdus dans le tesseract,
J'suis parti trop loin des cieux, tu peux pas m'suivre,
T'es sûrement l'pire des maux, la seul que j'peux pas fuir,
Je t'ai sûrement faite rire, un peu trop fait pleurer,
J't'aimerai toujours, même si j'ai du en crever...