Ma rue a trop d'probleme, fait pâlir le livre de math
Depuis qu'les solutions s'trouvent sous les débris de balle
Les yébi jactent... Et Pourrait taire ta vie
Dans mon corps j'me sens a l'étroit pourriture d'habit
Souffrir tue l'ami, a long terme, lentement,
elle éteints ta lanterne et ceux au lendemain,
Tant d'chemin, la jeunesse reste ké-blo, t'es qué-cho,
mais on s'construit pas en une seconde comme une tante quechua
Quel chouax avons nous, l'état nous fout les boules De geisha
Guette sa les shrab sont au habs quand les shtar sont sous C,
Soucieux d' l'illicite... Les élitistes sont tous mafia et la plébiscite,
Publicité subliminale, mirage nous laisse fumer des spliffs
pour nous voir sage comme des images
J'vais si mal depuis qu'on veut le gain au lieu du bien,
Depuis qu'les typeu ont des grosses couilles avant les poils pubien
Trop d'putain et parmis elle y'a pas qu'des filles,
J'met au défi d'voir un jeune de téci qui n'se déguise...
Méfie toi de ceux qui t'idolatre,
il pourrait t'la mettre a l'envers pour un p´tit dollar,
Molard a ce système qui hiberne,
pendant que dans la France d'en bas c'est la crise mec,
Des pichenette a nos salaires, sa mere
Bientôt nos mère pourront même plus s'acheter d'kleenex,
Ils ont l'kînect pour contrôler la plèbe,
c'est des mouches a merdes, donnée moi une tapette
La carpette ils ont fumé s'il croient qu'le monde c'est le leur,
Des leurres, mais dans nos erreurs, le monde reviendra au peuple