"Parler ne sers à rien, seuls nos actes changeront les choses,
Trouver une juste cause, afin de lutter contre la névrose,
Nous ne sommes plus chez nous, nous ne méritons plus de vivre ici,
Ce lieu paisible qu’était la terre on l’a transformé en asile.
Et les vices pleuvent, la terre pleure, la terre brûle,
L’homme crève et pour l’soigner il n’y a pas de pilule,
L’homme est en grève contre le bien et le mal s’accumule,
Dans un monde ou pour survivre personne ne trouve la bonne formule.
Je capitule, je voulais me battre mais c’est absurde,
C’est ridicule et je ne suis pas seul à trouver que la coupe déborde,
L’homme est crédule, et dans son esprit règne la discorde,
Empli de remord, à chaque instant il rêve d’une vie après la mort.
Les sourires ne sont là que pour que les larmes se dissimulent,
Ici tout est nul et presque plus rien ne me stimule,
Je simule et seul au fond de ma cellule,
Je décris l’histoire d’un monde qui nous manipule. "

Evasion.

Dernier couplet de ma prochaine musique.