Bonsoir, donnez moi des avis merci
C'est la vie que je supporte dans ce taudis qui m’emporte,
Quand je vois le monde d’aujourd’hui notre histoire ne se terminera, en cendre d'un livre brûlé dans le désespoirs, les yeux fermés se retrouvant dans le noir,
Mon cœur saigne mais je ne cherche pas à comprendre, une vie qui devrait s'entreprendre, trop de remue méninge, on ne veux plus rien entendre.
Insomniaque les yeux totalement cerné, plus aucunement la force de rêver, en ne voyant qu'un monde devenu complètement acidulé,
Vision beaucoup trop amer on ne peut même plus goûter à la vie, profites de ne rien encore comprendre petit, ado on se réveil on se sent tous trop abrutit,
Devant ces grands qui cherchent a nous faire comprendre le monde, en nous comparant sans arrêt à la ronde, alors qu'on se retrouvera tous sous une tombe,
Je me lèves tous les matins avec ces jours qui se répètes pages collé, j'en peux plus de revoir ces têtes et ces espoirs envolés,
Trop de cons plus aucune envie de fêtes, poison écoulé que des bêtes entouré d'un espace qui nous embête
Je deviens folle, folle de rage, appelé les secours la haine monte au large, je ne peux plus tourner les pages.
Passée trop souvent rappelé, on veux essayer de me cerner, mais même moi je ne peux même pas me l'imaginer.
On fait tous des erreurs, il est peut être trop tard, mais personne n'y meurs mais je commence a en avoir marre,
La drogue m'a fait tourner la tête, manipulé, utilisé, j'étais le petit jouet préféré, j'avais tout perdu, même la famille me penser trop bête pour réussir a arrêté de faire ma poupée,
Alcool, je me demandais quand sa aller s'arrêter, je voulais juste abandonner, toutes ces merdes allaiter comme un bébé accro a son tété,
Tous les jours me fallait ma dose je voulais oublier tous ces mots, envie de me cacher je n'étais flatté que par le masque de zoro,
On dit souvent que l'évasion nous fait oublier, je suis toujours là, j'ai tout lâché, et la vérité, bourrage de crâne, rien ne s'est arrêté,
Je vous fais passer ce message que vous écouterez peut-être, je lance mes mots comme si sa allait me faire oublier tous ces traîtres.
Vous savez, je vous vois déjà grimacer, mais je suis pas la seule a trop souvent pleurer,
Je sais, chanceux que nous somme, chacun d'entre nous prend son coussin pour un psychologue gentilhomme,
La vie n'est pas un jeu personne n'y gagne, on finira bien par poser nos armes et finir sous tous ces soit disant drame,
On pleure pour des choses aucunement importante, même si pour nous la terre devient tout d'un coup dégoûtante, on a encore beaucoup d'autres pente,
On a trop était gâté et c'est trop dommage, beaucoup d'autres mérites beaucoup plus notre page,
Mon balcon et la beauté du monde, me donne l'envie de me battre, espérant ne plus devoir débattre.