Du soleil qui courbe ma région,
Aux grisailles qui conquièrent mes pensées.
De ces braves français qui part millions,
Voit leurs avenir s'eparpiller.

Des érudits qui jonchent l'héxagone,
Aux miséreux qui l'effleurent à peine.
A tous ces inconsolables dont l'effroie donne,
Le sentiment de ne pas voir l'Eden.

Des politiques, que l'on me pardonne,
Ventripotent, grandiloquent.
Aux orgeuilleux qui se croient autonome,
Mais qui malgrès tout volent aux grès des vents.

A tous ces gens épris d'espoir,
Que la réalité deçoit souvent.
A tous ces gens qui tous les soir,
Verse une larme en se couchant.

j'aurai fais un poéme au lieu d'une poésie, afin déviter "los ripios" je sais pas en français, mais c'est le fait de faire une phrase juste pour la rime (je sais pas si je me fais comprendre :s)

tu t'aurai mieux exprimé en faisant un poéme pour éviter les rimes et jouer plus sur des figures de styles autres que métaphores que tu a utilisé et très bien exprimé.

Court mais sympas. La musicalité est belle et m'a agréablement surrprise (cf. "Eden" où on retrouve le peine ET le eDen). J'avais un peu peur pour la chute parce que je ne voyais pas où tu voulais en venir, mais elle est bien construite. En fait ce schéma permet de tenir en haleine, c'est cool !