Depuis qu’on m’a fait l’schéma d’la prospérité, j’crame ma perte,
Je n’ai pas trop mérité qu’on m’acclame frère, j’en ai mal la tête,
Vie sociale atteint d’cécité car j’ai perdu d’vue des gens proche,
J’rêve plus dès qu’j’m’endors de tes thunes que j’empoche,
Merde, ma seule fierté c’est d’avoir fini Mega Man … Bordel,
J’m’écrase là, ma plume s’arrache ça la met hors d’elle,
J’écris mes textes devant DBZ pendant qu’les autre MC désespèrent,
Mec j’reste vrai avec ma faux en guise de texte, j’t’effraye,
Antipathie colossale, j’explique ma vie d’gros cossard,
La tise m’attire, trop dommage qu’la weed vacille version chronophage,
Type monotone, il m reste deux, trois texte sur l’coté à finir,
D’la tise j’ai l’monopole, dieux m’appel, c’est mon coté pacifique,
Du Chet Baker dans les baffles, j’jette mon cœur dans la marre,
Quand sonne mon heure j’m’attarde sur mon fauteuil, macabre,
Un fond d’chartreuse dans mon verre qui découle sur mes vers,
Jamais je ne me découvre sur les veines mais j’découpe tout tes seize,
J’ai peu d’vrai frère, car la solitude pèse sur mon corps,
J’me perds mec, j’vis avec une paire de glaive sur mon torse,
Si donné d’la passion ça use alors moi j’suis tout neuf,
Vices ou preuve que j’tise pour oublié ma vie d’douleur,
J’ai pas besoin d’peaufiné ma pref pour attisé la haine,
Vas y lâche moi frère, j’m’en fou qu’les phases soient cramé celles-ci ses les miennes,
Tu te prends une grosse salve de misanthropie dans la face c’est morne,
Donc la page est gore c’est logique en fin d’texte que je place ma mort.