Si les chiffres s'excite avec tant d'arrogance,
c'est que mon vécu et mon ressentit,
doivent peser lourd sur la balance,
j'en ai tellement traversé,
autant de fois que je me suis mangé,
j'ai compris à ce moment là
à quelle point la vie était dur
pour toutes les fois ou,je me suis fais baiser
et que j'ai du la fermer,
je me suis m'y a rapper
car je sais que j'y arriverais ,
même si je dois une fois de plus me vautrer.


je vais arrêter de te raconter ma vie
sinon j'en aurais fais un film.
Mes punchlines sont aussi rares,
qu'une pluie de Météorites.
Je t'embrase le cul,
comme en pleine crise d' hémorroïde.
le cul défoncé , tu marche sur le côté
comme une table à laquelle il manquerais un pied.
je suis peut être tombé de la dernière pluie,
mais crois moi les goutes j'ai appris à les esquiver.


je cours derrières mes rêves,
pour éviter de me tirer par mes cauchemars,
comme Cléopâtre et Jules César dans son palace en pleine bataille.
Les corps s'amassent sur le tarmac,
comme les putes sur le trottoir à place Pigalle.
en pleine attaque cérébrale ,tu parts en diagonales,
comme en gravité zéro dans une navette aérospatiale,
en pleine mission coloniale.