- Degy Dogg a écrit:
- perso je vie dans un pays laïque les lois régissent ma vie par obligation je ne vais pas en plus me soucier de la religion ....qui se planquent derrière des livres saints pour commettre des trucs souvent pas très catholique comme dirai l'autre ...si l'église veut son Obama pour pouvoir murmurer aux oreilles des musulmans les bienfaits de la religion chrétienne soit qu'ils essaient (mm si je pense que c'est peine perdue et ce à juste titre l'islam n'a rien de dangereuse certains la pratique mal c'est tout au mm titre que les juif et chrétiens extrémistes) puisque je pense qu'au final c'est ce qu'il désir secrètement ....je reste loin de tout ça ce qui devait à l'origine être une bonne chose et devenue cause des plus grandes querelles donnant souvent lieu à des atrocités alors si fumée noire sortait à vie de leur satanée cheminée je pense que dieu ne s'en porterait pas plus mal et les hommes non plus du reste ...
Je pourrais être d'accord avec toi lorsque tu dis qu'au départ c'est une bonne chose....mais je serais tenté de demander en quoi? Sur quelle base peux tu affirmer que la religion au départ était une bonne chose? Tu parles de l'intention de celui ou ceux qui sont à l'origine de ces livres?
Selon toi, est ce que dans la tête de ceux qui sont à l'origine de ces livres, est passé l'idée que compte tenu que la lecture d'un texte et l'interprétation, donc la conviction qui en découle, est souvent plus subjective qu'objective, et que dès lors, il y aurait forcément un risque que ces textes soient mal compris (si tenté qu'il y ait une interprétation plus vraie qu'une autre), et donc que les hommes, à partir de cette incompréhension, en viennent à faire les pires choses au nom de ce qu'ils interpetent comme étant évident?
Dans aucun verset bilbique c'est écrit qu'il faut torturer les athés ou les impies, qu'il faut brûler sur le buché les philosophes et les hérétiques...tout cela ne sont que des méthodes qui découlent de ce que les interprêtes de ces textes ont jugés bon de devoir appliquer selon leur propre affects et selon la vision qu'ils eurent de ce que devait être les choses.
Je ne dis pas que si la bible et le coran n'avaient jamais existé, les hommes n'auraient pas forgés d'autres concepts du même genre, c'est à dire un dieu puissant, punisseur, etc...de toute manière on voit bien que tout les peuples se sont forgés de tels concepts, bien qu'ils diffèrent.....mais de là à dire qu'au départ l'intention était louable, c'est à mon sens, ne pas avoir tenu compte de la nature humaine, de la manière dont elle peut être affectée, et donc de ce qui pourrait en découler.......je n'ai pas besoin de faire un dessin, l'histoire rend compte d'elle même de tout cela.
Si la science mathématique n'avait pas permis aux hommes de trouver un autre chemin pour l'explication des phénomènes, je doute que nous serions sorti de l'obscurentisme, et donc de toutes les fausses interprétations que les hommes ont forgés pour rendre compte des phénomènes dont la cause pensaient ils était d'ordre divine.
L'église aujourd'hui n'est plus toute puissante, non pas parce que satan est plus fort et plus répandu sur le monde, non pas parce que d'elle même elle a décidé d'être moins radicale, moins véhémente, mais tout simplement parce qu'elle s'est pris quelques revers importants, ayant été trop affirmative sur des points que la science a réfuté....elle a donc perdu toute légitimité à être perçu comme la détentrice de la vérité vraie des choses.
Par conséquent, dans tous les pays catholiques, bien que les gens aient gardé l'attachement à cette religion, souvent plus culturellement que dans le cadre d'une croyance réelle, ce n'est pas une réintéprétation de la bible qui a changé les Hommes ainsi, à être plus tolérant, moins porté à affirmer.......c'est le doute.....le doute de croire posséder la vérité des choses à partir d'un livre dont l'interprétation reste subjective....chacun base donc sa vision des choses selon la manière dont il est affécté par ce qu'il tire de ces textes........la religion catholique est devenu une religion personnelle, plus qu'une religion devant être globalisée et devant servir de loi inconditionnelle pour la vie des hommes. Je n'affirmerai pas cependant que l'église ne se satisferait pas d'un retour en arrière afin de reprendre le pouvoir sur ses ouailles, et le pouvoir tout cours.