J'ai pas d'autres meilleurs amis, à part cette inséparable solitude,
Devant mes cahiers j'étudie,mais le rap reste encore ma seule étude,
Tout comme un homme muet j'ai des difficultés a m'exprimer,
Je me change les idées a l'aide de ma plume est d'une feuille de papier,
Mes larmes coules comme un fleuve,je reste en bas comme si j'étais attaché a des clous,
Souvent des violences verbales peuvent être beaucoup plus violente que des coups ,
Je me remémore tous ces cauchemars passé,entre les juges et leurs poursuites judiciaires,
Je leur écrierais bien des pamphlet,bien que je ne possède pas l'écriture de Voltaire ,
Tout reste aussi douloureux comme une grosse plait qui a du mal cicatriser ,
Je suis blessé en plein cœur mon âme reste éternellement hospitalisé,
Dans mon lit mort de froid avec rien pour me couvrir,et je repense a tout ces mauvais souvenirs,
Devant moi j'ai vue les portes de la gardave s'ouvrirent,et derrière j'ai laissé la daronne souffrir,
Bizarrement les amis comme les sous disparaisse,aussi vite que les ennuis apparaisse,
Je reste dans les trois quarts de mon temps en hess,cette vie m'écœure je vais faire un malaise,
Seul dans ma chambre je lis le Coran en espérant de me faire pardonner,
Pour ma vie c'est bien la seul choses qui me donne l'énergie de continuer.