J’traine ma haine comme une vie avec de triste issue
Très malsaine, cette pute ivre me saoul, alors j’lui tire dessus
Si on m’force la main, j’m en sortirais avec une cléfs d’bras
Mes pilons hors d’atteinte, j’niche dans la rue comme un clébard
Mon cœur est une zone aride, avide, un désert de sentiments
Plus sourire, ma prose acide se délecte sans tire-ment
J’doute fort en silence, étouffe mon sort en sifflant
Ma négligence des vivants est humainement impressionnante
Mes nerfs n’vendent pas, j’préfère être un vrai pauvre qu’un faux riche
Mais j’laisse, j’tente pas car ma plume s’emballe dans un excès d’folie
A défaut de ne pas être assez pointu dans mes texte, j’lance des pics
Plus d’héro dans nos rues, ça m’rend triste donc j’m’investis
J’lâche des prose remplie de mes idéologies jusqu’au point finale
Marque des pause à chaque vers, j’suis bourrer au freestyle
Outrer des cris qu’j’lâche, mon cerveau pète des câble électrique
Sous mes écris j’tape sur mon destin par très net,pour l’avenir j’suis sceptique