Trompé pendant des mois
tout cela pour un émoi
trahi, humilier, oui l'amour rend aveugle
mais malgrès tout les trains passent et toujours les vaches meuglent
j'pensait pas me relever de tout ça
j'pensait que le monde s'écroulerait sous mes pas
mais il continu de tourner, inébranlable
et son dessein quoi que flou m'attire au point d'empêcher des actes condamnables
de cette histoire ne reste qu'un dégout
et une hilarité en regardant ceux qui essaient de me trainer dans la boue
mettez moi aux arrêts je suis pas hommes à renier mes pêcher
oui monsieur je suis coupable, la faute m'incombe
coupable d'avoir aimer une créature immonde
mais la bête semblait en plein désarroi
pris d'affection je n'ai pas senti le coup bat
je sais pourtant que les être sont fourbes de nature, bon par obligation
et de respect certains ont besoin de revoir les leçons
les échecs à répétitions
les coups durs les déceptions
me font croire que toute les femmes sont des sa****
et que la clé du succès consiste à rencontrer l'un des rares qui ne l'ai pas
mais de toute ces recherches je suis las
j'ai cru mon but atteint mais je me suis fourvoyé
aveuglé par tant de beauté
j'aurais souhaiter que jamais naisse cette amitié
je m'en retrouve déchiré
j'aurai souhaiter que jamais n'arrive cette rencontre
il n'en reste que tristesse, regret, honte
quel doux rêve berce les optimistes qui voit le bon partout
comme je l'ai envie
et jalouse l'insouciance d'un enfant qui n'a encore connu aucun tourment
le passage à l'état d'adulte n'arrive pas avec l'age
certains vieillisse mais demeure d'éternel adolescent
ce passage survient lorsque souffrant de façon tragique
plus personne ne peut te convaincre que le mal partira après un bisou magique
je n'aimerais pas rajeunir je laisse cette quête au assoiffé d'immortabilité
la fin est pour moi un renouveau ou j'me débarrass'rai de c'qui me tient de fardeau
ce geyser de rancoeur que rien ne peut boucher l'ouverture, immense prison
car la déception est parfois plus cruelle que la trahison
j'attend le jugement dernier avec impatience
n'espérant pas de chatiment ni de clémence
en attendant j'vie dans la démesure, sans armes protectrices
car j'ai reçu la vie comme blessure mais refuser au suicide de guérir la cicatrice