Salut à tous!
Bon j'suis nouveau donc j'imagine que ce premier texte sera peut-être pas super
C'est un texte que j'ai écris assez vite, donc j'm'attends pas à des avis trop positifs et en lisant certains reconnaitront un passage trop copié de Shurik'n (Lettre) et un autre de Sixième Aks (Mon stylo bave des larmes). Vous m'direz surment qu'il y a beaucoup de "tu" aussi, mais avec ce sujet j'pouvais pas mieux faire.
Je pourrais pas répondre en semaine, étant interne.
Bonne lecture
Tu vivais peinard dans l'innocence
Le maître mot était l'insouciance
Tu allais, sans te demander
Quelle merde il pourrait t'arriver
Et puis, avec tes potes tu te marrais
Avec eux tu faisais n'importe quoi
Mais tu restais dans la course, tu faisais les bons choix
T'avais pas b'soin d'autre chose qu'être avec les tiens
Avec eux, tu te sentais bien
Et un jour, tu as sombré
Tranquille tu naviguais,
Mais tu as chaviré, t'es tombé et
Tu t'es posé les mauvaises questions
Le chemin qu't'as pris, c'était pas l'bon
Tu t'es comporté comme un con
Tu t'laisse kidnapper sans rançon
Par tes amis, tu t'sentais rejeté
Parce que t'avais la flemme de bouger
Oublie le passé
Il te détruirait
La présence du daron qui dérange
L'éloignement puis la fange
Ses insultes qui fusent
Son sentiment d'science infuse
T'atteignent et te détruisent
Et font qu'pour toi aussi c'est la crise
Avant tu ne fumais pas
Tu n'avais pas besoin de ça
Anti-drogue tu étais
Et maintenant regarde où t'en es :
Tu fumes comme un pompier
Tu fais des kilomètres pour t'enfumer
Si t'as rien, l'autre solution c'est tiser
A force, toute ta maille t'vas la passer
Tu t'enfonces dans un monde que tu connais bien
Mais ce monde n'est pas l'tien
Faut que tu apprennes à t'contrôler
Tes bras à n'pas les baisser
Réapprendre à aimer, à bosser
A apprécier sa bande et
Ne pas renvoyer les mains qui s'tendent
Obnubilé, tu erres avec tes "frères"
A fumer de la beu-her
Embarqué par la rue
Le reste tu t'en soucies plus
Ou en tout cas tu t'en souviens plus
A tellement tiser, l'équilibre tu l'as perdu
A tellement fumer, ton esprit est infecté
Ton mental, ta conscience est brisée
Les balances, l'absence de confiance
Le manque d'assurance, tu chutes en cadence
Tu tombe dans la délinquance
Tu t'enferme dans l'ignorance
Ton égo part à la dérive
Tu sais pas ce qui t'arrive
Tes idées pleines de doutes, ton apathie qui déroute
Tu dis qu'les autres doivent tracer leur route
Qu'ils aillent se faire foutre
Mais t'es allé trop loin
T'as oublié le frein à main
Donc t'as glissé et t'en es arrivé
A tenter de te suicider
T'étais dans un grenier
Un canon dirigé vers ta te-té
Heureusement qu'ta daronne est arrivée
Pense à elle qui s'fera tant de soucis pour toi
Désormais, à chaque fois que tu sortiras
Et tu devrais faire en sorte
D'entrer dans l'Illusion
Pour pas qu'on t'mette à la porte
A tes démons, tu dois faire front
T'éloigner d'cette lumière noire
A laquelle tu voudrais tellement croire
Monde de cran d'arrêt, couteaux auguisés
Voler, flingue chargé, tirer
Fuir, nuire, éviter les tirs
La nuit t'en transpires
Et tu t'rends compte que t'es en Enfer
A vouloir croisé l'fer, te voilà d'vant Lucifer
A traîner sur les bancs
Ta personne est en sang
Les yeux rouge, le teint blanc
Je sais que maintenant tu vas mieux
Ta santé, f'ra des heureux
Heureux d'être dans ce monde
Toujours, tu vagabondes
Une peur en moins
En serrant le poing
T'inquiètes, c'est pas la fin
T'as retrouvé la joie d'être avec tes potes
A moins de merde tu te frottes
Pendant des années, tu t'es blessé
Et doucement, t'commence à cicatriser
Mais faut pas abandonner
Laisse tes soucis et apprends à aimer la vie
Parsemée parfois d'nuages gris
Mais après la pluie le beau temps
Il est tant, qu'tu vires la pluie
Et t'sera plus à cran
Retrouve tes sentiments
Prends le temps de te posé
Prends le temps d'admirer
La beauté des paysages
Emprunte les bons passages
Et ne te voile plus l'visage
Ne crois pas que ca arrive qu'aux autres
Souviens-toi que pour moi, c'est toi l'autre
Et j'oublie pas que pour toi, c'est moi l'autre
Faut qu't'ailles expier tes fautes
Confesser tes péchés
T'as pêché la mort
Il serait temps d'la r'lâcher
Voir, accepter qu'tu as tort
Et ne pas renoncer...