Un putain de texte fait en deux jours environ, texte à thème sur la punition divine, et moins axé sur la technique pour une meilleure fluidité audio, dans l'sens ou moins de multis à mettre, sur une prod de Olsen. Vous pouvez mater le son dans "Vos Sons".
Peace.
Une nuit je me réveille, Jack et Marie-Jeanne me regardait,
Malaise ou mal-être, rêve éveillé le soir même,
Eclair de lucidité, je me lève et fait le tour de ma chambre,
Une douche un verre, j'me couche par terre cela change du chanvre,
Je scrute la fenêtre, ciel dégagé mais assombri,
La descente des escaliers est lente chargé par son bruit,
J'entrouvre la porte et sort avec ma veste seulement,
Le feulement du vent comme ami, je m'éloigne en douce,
Je marche au milieu des rues, déambule le regard vide,
Presque en névralgie, j'avance mais je m'égart vite,
Je reprends mon souffle car l'aube n'est pas encore là,
Face à la mort je fausse mes pas, en tord je pars,
Quatre heures du matin, le facteur du malin s'éveille,
Merveille diabolique, comme arme je n'ai que la plante verte,
En fuite je tente le saut de l'ange dans le cimetière,
Six pieds sous terre, inversion j'atteris dans les cimes vertes,
Etonné je me demande : "Mais qu'est-ce que j'fais là"
"Dieu est-ce toi qui m'controle me frappe et me fait mal,"
Ricanement sourd, la roue tourne je dois me démerder,
Tout seul, je descend de l'arbre pour faire face à Déméther,
Une goutte d'éther me brule, c'est la confusion total,
Propulsion profane, ma tête tourne avec un gout d'méthane,
Soudain, je me lève, le crâne violenté par cette punition divine,
Qu'ai-je fait ? Je n'en sais rien mais j'ai subis si vite,
Une tornade s'abat, je cours pour partir de ce cauchemar,
Trop tard, bizarre elle me parait douce comme du kashmir,
J'inspire une bouffée, je ne comprends pas les dieux se défoulent sur moi,
Je m'écroule, les gouttes tombent, je me relève sournois,
Soudain, je suis dans un sous-bois, de peur je cours me protéger,
Je me barricade dans une grotte, mais l'abri semble trop léger,
Confession d'un enfant du siècle, je me sens observer,
Mes sens en alertes m'indique qu'on va m'enfermer,
La voix s'élève au loin, gronde et rase la forêt d'un coup sec,
Ma foi, mon bras s'écorche par des à-coup bref,
Mon bras se guérit, l'Olympe semble s'amuser avec moi,
Abuser de ma pleine foi, je frole la mort mais mon âme s'aguerrit,
Sage guerrier dans un sal pétrin, que faire pour arrêter le fléau ?
Car la falaise sur laquelle je me tiens s'est affaissé de trés haut,
Mes phalanges me brûlent, le frottement de l'air m'échauffe le corps,
Il fait chaud dehors, ai-je fait des méfaits étranges ?
Je me dissipe dans une fumée de nacre, poussière divine,
Je me retrouve dans mon lit, d'un coup d'un seul tout est fini,
Le souvenir de cette soirée restera à jamais dans ma mémoire,
J'ai fait l'noir dans ma tête, sinon la thèse j'aurais du la soutenir,
J'ai subi un avant-gout de ce que peut-être une punition divine,
Je ne l'oublierai jamais, c'est pour cela que je fustige ma missive,
J'ai subi un avant-gout de ce que peut-être une punition divine,
Je ne l'oublierai jamais, c'est pour cela que je fustige ma missive,