Voila un écrit (celui la je l'ai pas posé ), mais que j'avais écris suite a une séparation difficile (on en tous eu
) . Bref, a mon sens ca manque un peu de punchline, mais vu que c'est s'inspire d'un moment de ma vie, c'était pas l'essentiel, a vous !
(Ps : pas encore fait de refrain )
Elle
C’est l’histoire d’un coup de cœur devenu coup de pute,
Quand la rancœur fait fureur , et te donne des envies de lutte,
J’étais comme beaucoup de mecs, j’croyais qu’a l’alcool et au sexe
Beaucoups de shnecks, une keken, une existence sans complexes,
Mes relations, rimaient avec gaule de T-rex,
j'y venais meme a voir la vie en rose, rose latex
Puis on s’est vu, belle,rebelle, frele, et machiavelle,
Des regards a la pelle, et mes envies repartaient de plus belle,
Soirée, virées, despés , et on s’est fait vibrer,
On l’a fait, et refait, pas de défaites, c’était l’accord parfait,
Mais le matin, regret sans fin, s’était barré ton parfum,
Laissant comme cadeau ton numéro sur papier froissé,
Puis, ta face d’ange et ta frange vinrent a manquer,
Comme un manque a combler, ta tete brune et tes manieres me hantait,
Le seul amour que j’portais aller vers ma reum,
Et rapidement, sans que j’le sache, tu devins reine de mon seum,
Puis on s’est revu, tu pouvais faire la fiere,
Car j’étais un coeur de pierre qui découvrait l’amour amer,
Mes freres en sont témoins, j’les ai délaissés,
Car je n’me lassais pas de tes deux bras sur moi enlassés,
Texto, restos, sextos, tout est allé si vite,
Les feux de l’amour ont brulé les étapes sans limite,
Puis comme Luther King, j’me suis mis a réver,
J’me suis a croire que derriere tout ca se cachait l’amour vrai,
Pas de faux semblant, car tu me semblais vrai,
Plus on s’rapprochais, plus je m’éloignais de mes refrés,
Pour toi j’ai tout donné, tu devenais vitale comme ma carte,
T’es la seule que j’capte, pour toi j’aurais sortis le costume cravate,
T’es la jardiniere de mon cœur, celle qu’a planté les graines,
Et comme un sprinteur aveugle, je ne sais pas ou cela nous mene,
Sans toi, j’mange plus, pourtant j’fais pas karem,
Car n’oublie jamais que tu restes la seule a qui j’ai dis je t’aime,
Tu me rendais fou, j’aimais une femme enfin,
Mais étant une bonne chose, notre histoire avait une fin,
Un jour que j’vins chez toi, princesse n’était pas la,
Et en guise de réponse, ce fut ta mere qui m’accueillat
Elle me prit a partit, et m’expliqua la chose,
Comme quoi dans toute histoire il fallait savoir faire une pause,
Pris dans l’attente, je ne m’inquietais pas,
Mais scrutait tout les soir le phone dans l’attente d’un texto de toi,
Puis un jour, 3h16 je recus un sms,
Annoncant que de moi elle y pensait sans cesse,
Mais que nous deux c’était sans stress, juste une histoire de fesse,
Et que tu voulais que je délaisse les sentiments qui naissent,
Plus bas que terre, mon cœur est devenu bunker,
Et j’me retire de la famille, moi j’veux plus d’ame-sœurs
Et meme si des fois,mes insomnies portent ton nom,
J’te re-échange facilement contre les dix de gagnés, Manon