Manif pacifique contre le couvre feu est sans issue,
en 61 le 17 du 10 eme mois l'illustre
mon art est avéré, acéré, gardan les poing serré,
cherchant le remede d'une maladie cancéreux
marquante est l'injustice quand c'est eux qui la font,
ils s'affichent victimes plus que criminel sans fond
propagande d'une précarité commune, frappante
comme s'affiche le silence d'une fosse commune
j'écris une thématique sévère, la chronique d'un précaire,
les traces d'aprés guerres restes des souvenirs austère!
On est les sales parmis les propres, la crasse d'une sale époque,
affirmant d'être responsable de tout vos chocs
une réprobation stridente dans vos oreilles car
il faut s'faire entendre et arriver à se faire comprendre
je mache des mots lourds, je marche de pas lourds,
mon mutisme n'est que le reflet d'une palourde
téméraire, est son père moin que prolétaire,
chaque restauration depend d'un seul salaire
chaque jour est un combat, ou mené une lutte deviens banal,
une moral qui a déja sa place dans vos annales
je résume ce sentiment de haine en tant que biopic
une scène de martyr qui en fais ma réplique
combat perpetuel, ma révolution sonore doit s'imposer,
...l'embleme d'un combattant qui gueul pour s'instaurer
tenter d'égaler ma plume à vos minauderie,
plus lourd en sera les conséquences subit
attristé de voir que le capitalisme font pas nos meilleurs sujets,
l'humanitaire s'en doit d'être jugé.
Le progré éhappe a l'homme, conviction suicidaire
l'éloquent n'aura aucun contestataire
atteste ces mots, celle d'une réalité brutal,
meme si les coups sont dur, faut savoir se faire mal.