De mon encre noire je repeins ma feuille blanche, mes larmes sèchent et deviennes poussière d’ange, je te fais des nuits blanches, à écrire sous un ciel noir, je suis la tour d’ivoire au milieu du bitume, mon reflet dans le miroir m’écris à titre posthume, mélancolique et rare comme la rose noire, je suis le roi d’un château de sable, à la limite de la psycho-paranoïa, pyro-maniak, sans stratégie je passe à l’attaque, armé de mon Big Stylo Black…. pour que je le lâche, faudra m’arracher le bras, pas besoin de la baguette d’Harry pour qu’Hermione mouille les draps…, Marianne m’a ouvert ses bras, à l’aide d’une Hache, je lui ai tranché le droit, puis pris la fuite avec Marie-Jeanne, j’ai lu entre la lune et l’étoile, j’ai pu retisser ma toile, retirer lunettes, casquette, pour dévoiler ma gueule de métèque. Réunis mes lyrics, et sa en fera une bibliothèque, déconseillé aux âmes sensibles, j’ai abattu l’arbre des possibles, si sa te paraît pas plausible, tu n’as cas waver sur la weed, je transforme du rigide en liquide, je ne suis pas du genre bling-bling, ni celui qui est porté par la foi, je suis plus style anti-christ, sans foi ni loi..


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