On aime notre vie,mais on flirt avec la mort,
Vérité c'est ma devise,mais des fois j'nie à tort
Je suis né accro à la musique,le rap c'est une drogue,
Il me fait oublier,le poids de la vie que je supporte.
Ras l'cul de tout ça,des profs et d'me coucher tard,
j'aime Dieu,mais on veut m'faire apprécier le sheitan..
un jour je partirai loin,mais cette fois si sans baluchon,
car j'ai le nez dans un environment ou les gens sont cons.
Trop d'histoires tirer par les veuch',c'pour ça qu'j'ai une bonne boule à z,
le bamboula stress,c'est c'qu'ils en m'voyant avancer sur l'trottoire,
Des fois j'mène une vie d'chien mais j'suis jamais à quatre pattes,
j'me suis souvent voiler la face,car les rumeurs m'accable grave,
c'est pas mon genre d'm'afficher,d'exprimer un méa culpa,
donc je me sens mal,comme une femme condamner à aimer un coupable.
J'ai fais couler mon sang ,depuis la mer est rouge, (x2)
la merde m'encens,normal qu'j'ai pas l'odeur carouge,
Quand jpera,c'est comme si j'lachais une galette,
car au micro je viens vomir ma tristesse et ma colère.
Ton entourage est froid,mais tu t'sens chaud comme un temps d'été,
tu tourne le dos à tes potes,car même eux veulent t'endetter,
C'est l'enfer sur terre mais le paradis dans nos cœurs,
ya plus d'entraide car on noie le courage dans nos peurs...
donc Je traîne les pieds,sur le quai d'la gare,
z'yeut ces gays d'la bas, qui font passer leur robe rose,pour des djellabah,
J'ai mis un temps fou,à m'rendre compte que je changeais,
que le gentil Paul,devenait parfois ce méchant gars,
qui n'avait plus les idées clairs comme le flic de shangaï,
Alors tout les jours je priais pour qu'on ne me chambre pas,
Je me suis replier sur moi même,pour flirter avec la solitude,
j'ai appris la haine,car dans mon monde c'était la seule étude.
On a voulu me percer à jour,avec des qu'est-ce qu'il y a paul ?
J'évitais d'répondre car le soir,je m'vidais la tête sur des instru d'keskiaprod.