comme dans un hotel au yémen, dans ma téte y a qu'le cafar qui y régne
chaque soir jm'y perd pour gratté des seizes plus sombre qu'une nuit d'hiver,
pour l'avénement d'mes huit d'enfer, j'pactise avec le diable dans des splifs de zeb
j'carbure a la tiz'diesel, dans ma téte les idées noir s'entassent comme d'la ptite vaisselle,
je séme un tas d'cadavres car la nuit les mauvaise herbes n'connaissent qu'la sécheresse,
n'cotoi qu'des pécheresses, pour nous les lumiéres du paradis s'arrétent aux réverbéres
que des réves stellaires, j'suis pas une start montante mais une étoile filante,
on érre comme des corps flottants, ces sombres nuits marque nos mémoires de déboires flippants,