Alors moi je pense que tu as repris pas mal d'idées de Fayçal - Les vestiges de ma vingtaine ( Très bon artiste d'ailleurs )
Année 83 : le crépuscule de mon récit
Celui d'un gamin roi qui véhicule dans l'indécis
L'innocence de ma naissance, révélait mes sens,
Insensé, je voulais avaler l'adolescence.
L'essence de ma vie que je déballe sans m'enfuir
La renaissance d'une envie, pour ces balles de cuir
Pour ces jeux interdits et ces marelles sous le préau
Étourdis par l'enjeu, les querelles furent un fléau.
Assis sur mon pupitre, bon vivant ou mal luné
Souvent les démons m'allumaient.
Derrière les vitres, rêveur sur un tricycle
Ou dans un bac à sable, indicibles,
Impérissables ces saveurs ne se recyclent.
Ce môme impassible, paisible ou monotone,
Autonome et sensible aux faveurs de l'automne
La gueule dans les cieux, insoucieux, inconscient
Et à bonne ou mauvais escient seul et capricieux.
Idolâtrai la poésie, détestai les mathématiques,
La rime, la frénésie, c'est rester ma thématique.
Vautré dans mes songes, ébahit par l'écran,
Trahit par le mensonge mais rarement par le cran.
Entre les camarades plâtrés, le rimmel versé
En retrait dans nos barricades les mascarades se renversaient.
L'attrait, l'incandescence, les héros, les médisants;
C'est mes réminiscences, de zéro à mes dix ans.
Voici le premier couplet de fayçal ( https://www.youtube.com/watch?v=ikeYAs5-Hgk )
J'ai fais un petit résumé de ton texte en blanc c'est toi et en orange fayçal.
Allez j'me lance dans le crépuscule voici mon récit /
Année 83 : le crépuscule de mon récitJamais eu de chance je véhicule dans l'indécis /
Celui d'un gamin roi qui véhicule dans l'indécisL'incandescence de mes vers révele mes sens /
L'innocence de ma naissance, révélait mes sens,Réveil de mes rêves accueillis dans la méfiance
L'essence de mon parcours que je verse en fardeau /
L'essence de ma vie que je déballe sans m'enfuirMon enfance fut les textes, Ill sous mon maigre polo
Les filles soignaient leurs cuticules, foot sous un préau
Depuis je surf sur mes virgules du à un bon flow
Porte parole tel un pupitre, souvent mal luné /
Assis sur mon pupitre, bon vivant ou mal lunéSouvent les prix m'allumaient derrière une vitre /
Derrière les vitres, rêveur sur un tricycleLe môme qui était paisible bien monotone /
Ce môme impassible, paisible ou monotone,Devient homme autonome et accessible /
Autonome et sensible aux faveurs de l'automneTravailleur courageux récompensé par un diplôme
A force de gratter les feuilles tombent aux faveurs de l'automne
Idolâtrait ma poésie fait de l'ombre aux médisants /
Idolâtrai la poésie, détestai les mathématiques, /
L'attrait, l'incandescence, les héros, les médisants;J'ai tiré un trait sur ma frénésie du haut de mes dix ans /
C'est mes réminiscences, de zéro à mes dix ans.Donc voilà copiage + modifications ? Ou simples coïncidences ? Moi je trouve que ça fais beaucoup trop de coïncidence sur un seul couplet. J'espère au moins que tu pose comme lui