Des sciences qui ne ressemble qu'a l'ombre du doute
Ma conscience qui m'envoute .
Oublier qui je suis , fermer les paupières .
Me saouler toutes les nuits , pour gouter mes frontières .
Dans l’âme , les cris ,
Que le diable décrit , dans mes écrits .
L’être qui part en lambeau depuis l'époque du landau.
Le tous n'est pas si noir ,
Mais aléatoire est ma trajectoire .
Du bar au comptoir ,
Du trou noir au trottoir ,
Le tous c'est d'y croire .
Mais ma raison , me résigne .
Pendaison par résine .
Des pensées s'affirme ,
Comme une sensation d'infirme .
Fraicheur monotone , quant l'hiver me glace après l'automne .
De grâce , si je déconne .
La peur me déplore et les pleurs , décore , les corps ,
qui s’amasse , s’entasse .
On dirai mon cendar quant j'ai plus de place .
Je m’endors dans cette mélasse .
Une odeur de tabac froid dans les narine ... mais ma rime abime les abyme , déshabille les abysse.
Encor un verre et je glisse , dans le précipice ou je me précipite .
Mais tkt j’apprécie le beat ^^
https://www.facebook.com/Kentutkiff Bientot des nouveau sons sur ma page , mettez un j'aime et vous serrez au courant de l'actu . Peace .
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