J'prends les rennes comme aux échecs
Quand mes rêves sont emmenés chez
Les fêlés nan, feignez d'voir que les fainéants
Sont sous les chèques et les étrennes
J'me relève et je m'effraie à voir qu'l'échelle est en effet
Le seul remède de notre entrée frère
Dans ce monde où certains comptent et recomptent leur butin du mois
Tandis que d'autres monstres trompent leur gonz' v'ec la putain du bois
Ca fait plus d'un grimoire que bon nombre de classes sociales savatent
Pendant que bronzent et plongent les gros bonnets dans la savane
Les fausses promesses et les salades sont au progrès dans la smala
Politique, ramasses ça la police kicke quand la faya folie pique
La jeunesse est si salasse,
Devant cette lutte meurtrie pour une victoire d'ego
Comme en réfute l'esprit des livres qu'écrit Victor Hugo
Mépris des risques de frisent la vie de gloire des autres
Trop d'denrées s'fument quand s'usent des vies qui vivent dehors et d'hero