J’délivre ce papier pour cette personne qui m’est invisible,
Je dénoue les choses passées alors que ce n’est plus irréversible,
J’avais enfermé les souvenirs dans cette bouteille qui coule,
L’enfer depuis, impossible de me soutenir la vieillesse s’écoule,
Les vagues ont éteint ma quatorzième bougie à marée haute,
Sa divague ma vie dessiné par Picasso raté nappé par les mots,
Il paraît que les meilleurs partent toujours dans les premiers,
Se marais le bonheur qui avec toi c’est épanouis dans se panier,
Cette boîte suivant les flots de la mer dirigé vers les chutes,
L’eau s’accroît sur mon ego mon esprit mitigé choisi le chut,
Les portes se referme seules les larmes réussissent à s’échappe,
Les gouttes se portent sur la parole qui se la ferme sur le cap,
Un goût salé rappel cette océan qui détient mon enfance,
Dans l’égout je cherche mes séquelle mais ce tunnel est immense.
Chaque pas me vieilli mais l’age reste toujours innocent,
Ca joue à cache cache sous ma veste mes yeux sont inconscient,
La paraffine se consume et la cire dans le papier s’incruste,
La feuille devient fine les mot l’on cousu mon stylo est frustre,
La plume continu à écrire au bord de l’eau j’ai pas le mal de mer,
L’habitude des remords me dit que je suis en manque d’une mère,
La peur de l’admettre car cette marche à était dur à franchir,
Les mœurs se crache car l’absence ne m’enseigne pas la franchise,
La famille des disparus dans mes lyrics chante touts mes gènes,
Mille année mon parut depuis que cette mélodie devient s’engaine,
Mon rap blessé par les mots qui mon appris à exprimé le constat,
Délaisser j’ai le langage des signes sur la feuille devenu contraste.
Quatorzième bougie encore soufflée dans le monde des lettres,
Ecriture dilatée avec la coulée du passé de tout mon être,
Les murs de ma chambre figent mes pensées bien cadrées,
Fille mure depuis quatre pijes avec l’avenir déjà bien carré,
J’espère que tu piges et vois mon âme venir à travers l’encre,
Pépère j’ai jamais était un prestige mon cœur est toujours cancre,
La misère ma calmé qu’elle devient œuvre de mon 3e couplets,
Les lignes cramés l’alphabet du résumé de ma vie est complet,
L’eau n’a pas sue éteindre le rappel de personne en absences,
Teindre mon sang incolore anonyme qui ma laissé dans le silence,
Ecoutez le refrain de la raison pour la qu’elle maintenant je l’ouvre,
Je reteint les questions qui se pose la solution est l’art du Louvre.