j'bicravé tout ce qui m'passé sous la main,
j'écouter pas ma daronne, même si elle m'apporter continuellement son soutien,
j'maudit tous les racistes et les traitres,
a quatorze pige j'ai boycotter l'école en m'tirant par la fenêtre,
j'avait pas de but précis apart celui d'éviter de travailler juste pour quelques miettes,
au quartier c'est la merde, l'état nous tire dessus sans meme se soucier de nos mères,
on a tellement perdu de frères en route, que l'ont compte meme plus les pertes,
on reste poser entre nous assi sur des escalier,
trop tergiverse entre le haut et le bas pour au final a peine tenir en équilibre sur un cale pied,
on a tous envie de brasser de l'oseille,
j'dit pas dit qu'on est sur écoute mais bien qu'on nous observe,
j'vérait le visage de mes vrais amies le jours de m'est obsèque,
faut pas rechigné une amitié pour une femme meme ci celle-ci elle nous obsède,
y'a qu'une fois que je ferme les yeux que j'voit toute les débauches de ce monde,
si on s'mélange pas aux autres c'est parce que a force l'état nous démonte,
pour se sortir de la merde y faut faire preuve d'éloquance,
si on rebarlague des plaquettes en douce c'est parce que notre maison est une planque,
on réussi toujours a ce sortir de la merde,
nos vécu n'ont rien de comparable a ceux de certains mecs,
si j'suis comme sa c'est parce que mon pote asrime a confondu l'ghetto et la mecque,
le diable a le visage de l'injustice,
quand nous pointe du doigt au moindre problème comment veule t'il qu'on reste peace,
si on fait tout de d'travers, c'est parce que l'pays nous a mis d'coté,
on a nos buisness a nous est les problèmes qui nous suive hiver comme été,