Salut
Première fois que j'écris, j'suis ouvert à toutes critiques, après tout c'est comme ça qu'on progresse.
La première version ici
- Spoiler:
Trop d'camé dans c'monde noir,
J'avance en ignorant ces types le soir,
Mais que des noirs dans l'hop-hip racontent des bobards,
J'balise de plus en plus jeunes,
ça fume des tarpé d'vant les lycées,
ça s'dépucèle en soirée, drogué, alcoolisé,
Puis ils s'cassent comme des feujs,
J'ai trop mal à la teuté en pensant à toutes ces tasspés,
Qui rêvent que d'une chose : s'faire pénétrer,
A onze ans j'ai l'blackberry, à treize ans j'suis d'jà viré,
D'un établissement homologué,
Baqué à quatorze ans j'suis fiché par les condés,
Mes parents m'trouvent tarré, au même âge le oinje n'était pas banalisé,
Faut apprendre aux gens c'qu'est la haine et la violence,
Rien à voir avec la flemme et la graillance,
A force de dav-bé j'pourrai bientôt faire péter les compteurs de THC.
A Nantes t'apprends des choses sur toi,
Que tu savais même pas,
Des enculés cherches pas,
ça parle mais y a pas que ça,
Y a les baqueux qui t'guettent,
Les queues qu'ta mère s'est fait mettre,
Pour quelques piécettes,
Et une foule de pds près à s'enculer !
J'ai longtemps cherché l'cromi,
J'aurai pu m'inventer une vie,
Faire le to-mi,
Mais j'ai préféré crier Timy !
J'voulais pas rater mes études,
Mais pecho par les stups,
J'ai du trouver une autre issu,
Et écrire des rimes qui tuent.
Faut pas s'laisser abattre,
Certains n'en ont rien à battre,
Mais affronter la bac,
ça reste un combat d'paranoïaque,
Finis la fumette en scred,
Fais pas crari t'es au bled,
Balancé par un poukav',
Tu finis en gard'av',
Faut prendre son temps,
Poser sa rime lentement,
L'incroyable devenue banal,
Tu trouves ça normal que les jeunes se pavanent,
S'baladent avec des marques,
Te laissent patraque,
Marre de ces zonards ex-tôlards,
Des connards pleins de chtars,
Te compare aux charognards pour une tipar avec une couguar,
Les loubards te déboîtent la mâchoire,
Fais moi rimer ça en -ar, je cherche la victoire, nique les vieillards, les trimards et tous les tricards.
Seconde version :
Trop d'camé dans c'monde noir,
J'ai ignoré ces types le soir,
Mais que des noirs dans l'hop-hip racontent des bobards,
ça fume des tarpé d'vant les lycées,
ça s'dépucèle en soirée, drogué, alcoolisé,
J'ai trop mal à la teuté en pensant à toutes ces tasspés,
Qui font que rêver d'une chose : s'faire pénétrer,
A onze ans j'ai l'blackberry, j'suis d'jà viré à treize ge-pi,
D'un établissement homologué et privatisé,
Baqué à quatorze ans j'suis fiché par les condés,
Mes parents m'trouvent tarré, au même âge le oinje n'était pas banalisé,
Faut apprendre aux gens c'qu'est la haine et la violence,
Rien à voir avec la flemme et la graillance,
A force de dav-bé j'pourrai bientôt faire péter les compteurs de THC.
A Nantes t'apprends des choses sur toi,
Que tu savais même pas,
Des mauvais cherches pas,
ça osait parler mais y a pas que ça,
Y a les baqueux qui t'guettent,
Les queues qu'ta mère s'est fait mettre,
Pour quelques piécettes,
Et une foule d'amnésique muette,
J'ai longtemps cherché l'cromi,
J'aurai pu m'inventer une vie,
M'faire passer pour un to-mi,
Mais j'ai préféré crier Timy !
J'voulais pas rater mes études,
Mais choper par les stups,
J'ai du trouver une autre issu,
Et gratter des rimes qui tuent,
Faut pas s'laisser abattre,
Certains n'en ont rien à battre,
Mais affronter la bac,
ça reste un combat d'paranoïaque,
Finis la fumette en scred,
Fais pas crari t'es au bled,
Balancé par un poukav',
Tu finis en gard'av',
Faut prendre son temps,
Poser sa rime lentement,
L'incroyable devenue banal,
Inacceptables que les jeunes se pavanent,
S'baladent avec des marques de malades,
Te laissent patraque, démoniaque,
Marre de ces zonards ex-tôlards,
Des connards pleins de chtars,
Te compare aux charognards pour une tipar avec une couguar,
Les loubards te déboîtent la mâchoire,
Fais moi rimer ça en -ar, je cherche la victoire, nique les vieillards, les trimards et tous les tricards.