Je fume, en voulant effacer mon amertume,
Car cette tristesse comme une enclume, me pèse,
Me met mal à l’aise, j’essaie d’éteindre les braises,
D’un feu qu’on allumé et qui ne cesse de me consommer,
Je tire une taffe et pense que le mal va, disparaître en fumée,
Il reste accroché en moi, a nostalgie ne se guéri pas a coup de tabac,
Je retire et, je tente de, m’évader de ces noires pensées,
Mais elles restent collé en moi, ne diminuant pas mon émoi,
Ma gorge s’irrite, et mon cœur palpite et, j’ingurgite les barbituriques,
Malboro light, n’as pas allégé ma night, juste augmenter ma nervosité,
Ma douce, ma belle, je dépense pour toi de l’oseille, tu ne me rend pas l’appareil,
J’en allume une deuxième et, coup sur coup, j’augmente mon pouls,
Les sentiments m’ont fait mettre a genou, alors je pars dans des calculs de fous,
Mais dans ce monde, chaque erreur est, une lame, un couperet, prêt a signer la fin de ton ame
J’arrive à ma troisième et, dans, ma mémoire, tout stagne et est en pagaille
Ce n’est qu’un passe temps qui, fait croire qu’ on peut colmater ses failles,
Pourtant j’aime son odeur qui, me fait sentir que, je vis meme si je me détruis,
Mon mental me dirige et, pour colmater ces brèches, j’ai, allumé une sèche
Pendant que je refais le monde dans un nuage de fumée,
Ma vie me montre que je suis loin d’etre arrivée