Ugh.
Oui, tu as bien raison de ne pas te fouler,
Car ton cerveau trop lent ne saurait faire rimer
2 mots les plus basiques en moins de onze jours
C'est hélas le lot de ton espèce: les gros cons
Dont tu serais le roi, s'il y en avait toujours
Tant ton talent est terne, tant tu n'as aucun don.
Au fait... Quand on ironise, on n'est pas censé le dire
C'est la première règle de cette manière de rire
Mais je vois que tu m'as pris pour aussi con que toi,
A qui on doit tout expliquer à chaque fois.
J'espère que désormais tu y verras plus clair,
Sur tes tares, qui hélas, sont toutes héréditaires
Maintenant que je t'ai fait le portrait de ta mère,
Et de ton père, tu seras peut-être moins amer
De constater à quel point ton tout petit cerveau
T'a desservi dans ta vie, en sachant que tu vaux
Moins que pisse de cheval ou crachat de crotale.
Une bouse de bison a bien plus de jugeotte
Que toi et ton incommensurable retard mental
Les comanches t'écrasent comme une vulgaire crotte
Mais je laisse ton scalp, de peur, la nuit venue
De faire des cauchemars rien qu'à ta répugnante vue.
Nous sommes des guerriers, mais un monstre pareil
Ne peut être le fruit que d'un mauvais esprit,
Le genre qui s'amuse à détruire le sommeil;
Je ne veux pas de ta tête carrée dans mon tipi!
Pourris dans le désert, honteux, déshonoré
D'avoir perdu un duel sans y participer.
J'ai parlé. Ugh.