La paix n'est plus des nôtres, les maladies te mènent au pire
La peine, les cris des mômes, les mélodies se mêlent aux tirs
Quand ca sent l'biff, tous ces grands pitres sordides s'empiffrent
Tandis qu'ma haine aiguise mes mots, ces rats maudits traînent en Audi
J'vois des familles affolées, des femmes affamées, affalées
Avalé par la vallée d'une famille enflammée, j'vois l'infamie flâner
Les fleurs ont fanné, les douleurs s'éternisent
Ce monde est gore, sur mon décor, les belles couleurs se ternissent
Le bonheur se perd vite, dans toutes ces zones répressives
Y'a trop d'couleuvres perfides, j'voudrais qu'les hommes réfléchissent
Lorsque les ombres rétrécissent, ces voleurs se méfient
Pour des raisons très précises, et leur honneur se défile
Ouais j'vous défie d'être fidèle à leurs règles, dans cette ville
où les vies dévient dans le vide et où les idées viles et l'malheur règne
On n'a pas décidé d'vivre entre ces pyromanes,
et quand ca vire au drame, on n'a même plus la force de passer du rire aux larmes