Debut de mon texte :

Je m’en fou combien d’arbre on été arracher, je veux du dollar,
Dans ce monde j’étouffe, pourtant je ne suis ni clostro, ni taulard
Ici je galère, comme un jeune caissier chez carrefour,
Quelque rimes seulement et je suis bouillant comme 4four.
Ok j’étale ma peine, pendant que les faux frères nage dans la seine,
Faudra me couper la jambe pour que je sois genoux à terre, vois tu la scène ?
Les vraies valeurs se sont plus, car l’homme est une race impure,
La politesse n’existe plus, les jeunes veulent tous jouer les dures,
A première vu on pourrait croire que je n’ai pas de sentiments,
Encore des jugements, qui me feront couler des larmes de ciments.
En écrivant ce texte j’étais devant mon clavier, toujours aussi pensif,
Car je me sentais mal, de ne plus voir ce beau monde actif.
J’ai atteint le seuil de la solitude, donc je me sens enfermer,
C’est pour ça je me fais rare, comme de la viande chez un poissonnier.
Si je bois c’est pour noyer mes problèmes et ma rage,
Je vous raconte ça, car dans ce monde je ferai surement naufrage.