Touche des gosses, tue des femmes, accroupi des hommes
Dans s’fOutu théâtre, on retiendra que ta couper des arbres
On veut à tout prix m’descendre, m’assouplir en somme
J’ouvre sésame, cour c’est grave, l’avenir s’assombrir encore
La chance me tourne le dos, pourtant elle veut m’enculer
Rouge de peau car frappé par la vie j’me suis emmurer
Je suis pendulé dans un silence guidé par des druides amputés
Comment fuir le buché la foule veut détruire un poète
Dans une belle nuit d’putain les gens cherche leurs cœurs
Le quart d’heure paye ces chattes sans fleurs bleues
Et ton enfant revient les pOches Pleines et la bouche sale
Ses gosses terminent dans un mouchoir ou une toux grasse
J’née Eau cLair j’vais partir coupable couleur charbon
J’fini dans le bas-fond et les autres sont en talon à s’bouffé l’caleçon
Pas de destiné poumons noir par l’argent sale bicravé
L’ironie on m’dit de respirer pourtant on me dit d’taffé
Les mains plein de sang je les essuie sur le visage
Comme un indien pour rappeller une nouvelle tempête
Je n’attends pas un pseudo futur miracle
Je te cuisine pour que tu veuilles m’ouvrir ton cœur
Les mains plein de sang je les essuie sur le visage
Comme un indien pour rappeller une nouvelle tempête
Je n’attends pas un pseudo futur miracle
On n'invite pas une bouchère aux chandelles
A quand l'audio ? J'tai jamais entendu :P