Ya des fois on peut plus accepter les vannes,
Des fois on sent plus bas que le macadam,
Parfois on abuse on se met en larme,
Parfois on veut plus s’raconter des fables,
Parfois on veut meme plus allumer son portable,
Parfois les messages sonnent faux et les appels sont de trop,
Parfois on est lassé, blasé, ya tout qui nous fait chier,
Parfois on aimerait s’enterer sous terre, partir, loin,
Se foutre de tout et de rien, vivre libre, comme un chien,
Se payer deux heures de sommeil oublier de prendre le train,
Parfois, les rires forcés font plus triper, le manke de gout,
Vient te toucher, plus rien ne rime, et tout s’abîme,
Dans l’abîme on se plait et on se déprime, a penser,
Que tout n’est qu’une sale rime, une sale farce un peu cocasse,
C’est la faute à qui si on nous comprend pas,
On cherche un coupable mais y en a pas,
Si on aime rien c’est ptètre qu’on est pas dans notre trip,
Que certaines fiesta ou tous le monde fait semblant,
Nous laisse froid et surment indifférent,
C’est l’heure du bilan, si on est pas contend de soi,
C’est le moment de se fixer des objectifs, c’est le moment,
De partir en guerre, et de défier sa propre volonté,
C’est le moment de montrer qu’on est pas bon dernier,
Meme avec l’esprit sportif on peut devenir perdant,
Mais avant tout faut prouver qu’on a fait tout pour etre gagnant
Moi je le dis, je m’amuse que quand j’suis en phase « Leila » c’est moi
Qui appose mon jeu, c’est moi ki fait la loi, sur ma vie, ya personne,
Ki vient glisser son mot, j’écoute les conseils, mais je suis pas parano,
J’en fais k’a ma tete, et j’suivrai mon instinct, ma vie c’est moi ki la dirige,
Je la construirai de mes mains.