L’eau boue dans le bol, Trop d’abus, de tabou Au bout
t’es a bout demandes a l’horizon mais tu vois l’aube ou ?

La vie est dure alors tu fais le fort et le fier, au début
Mais même un sac de frappe vide ne tient pas debout
Esprit gâché, lyricale gâchette, et rimes engagé d’une vie spartiate
Épris d’une haine vile et rampante, il faut se baisser pour la combattre
Duel perdu, tes textes te libèrent de ce monde sournois
Alors tu fais des nuits blanches car tu vis des jours noirs
tu te noie a essayer de nager en plein bonheur
a te faire des idées tu ne respire pas le bon air
Tu écris des mots qui pleurent, ce sont tes larmes qui parlent
Accablé par des maux de douleurs, un coup de lames part
Veines tranchées, indélébile est l’encre que tu saigne
Inanimé sur le brancard, noir est le pacte que tu signe

L’eau boue dans le bol, Trop d’abus, de tabou Au bout
t’es a bout tu demandes a l’horizon « mais tu vois l’aube ou ? »

je suis pas journaliste mais Jt’écris car tu es a l’article de la mort
il faut croquer la vie a pleine dent mais c’est elle qui mord
Pas de taule pourtant une grosse peine a vrai dire
J’embrasse les bases du mélanco j t’avertie
Mais encore Je vais te touché plus que ton azerty,
je suis con en somme car t’es parti, je te parle de voyelle et de consones
La vie se Consume car fanées sont les graines qu’on sème
A tenté le 7 eme ciel t’as trébuché 6 pied sous terre
Tu te dépense, t’as de l’énergie a revendre qu’on Soutire
J’te fais pas de dessin car la vie d’un homme n’est pas simple
Déçu des siens a cause des sous a présent tu fais partit des saints
et les peurs laissent place au triste charme du deuil
si mes pleurs blessent c’est que j’ai L’arme a l’œil

L’eau boue dans le bol, Trop d’abus, de tabou Au bout
t’es a bout tu demandes a l’horizon « mais tu vois l’aube ou ? »


C’est un casse tète Je suis plus lassé que mes Stan Smith
Fragile Quand la vie s’achève, le blasphème recalé au casting,
c’est Déraisonnable mais j’ai les reins solides je fais le grand terrible
le fait d’errer son âme ca m’a l'aire insolite, en fait je tremble fébrile
On pourrait remplir des bombonnes Avec l’air que j’gaspille
Arme de dépression massive Le cœur recollé au mastique
Ce rasoir l’antirouille quand Ma mine s émousse
J’devrais sortir l’insecticide quand L’bourdon fait mouche
À ce rond point de la vie je me tourne vers qui
Même 20000 lieus sous les mers j’aurais l’vertige
Quand tu connais le versa Le vice est un mystère
Manque de Vie saine à s’en arracher les viscères
Lis ce verset Bien que le fou n’a tort que dans la raison
A présent seuls le silence et la solitude M apaiseront