Bref, c’est la discussion de ce soir qui m’a donné envie d’écrire ça :P
En gros, c’est l’histoire d’un jeune métisse, avec un père musulman et une mère chrétienne, qui a toujours été tiraillé entre les deux religions, se disant qu’il y avait un Dieu mais ne savant plus donner de la tête entre tout les dogmes qu’on tentait de lui inculquer… Puis il n’y a plus cru du tout en voyant que beaucoup ne respectaient rien, malgré leur religion, et se cachaient derrière comme une sorte de paravent, un piédestal qui n’a comme pied d’argile que leur inculture. Et les paroles de certains rappeurs ont été l’élément déclencheur
Bonne lecture ! ‘culé va.
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Marre de l’épanchement de la pensée unique
Marre de poser des pansements sur les plaies des ironiques
Si même Jésus zézaie dans ses propos oniriques
Désabusé j’essaie d’inséminer les « rhos » à coup d’prose lyrique
Mais trop ne cèdent pas et refusent de s’aider
Quand les gens ne s’aiment pas comment procéder
Comment est-ce possible autant de prosélytisme
Posséder les gens, les rendre pro « élitisme »
J’suis un tiss-mé qui médite, tiraillé par les ergotages
Améthystes sont mes dires, j’tire après tout ses personnages
Et j’y perd mon âme, personne pour me dire persévère
Sur les rames sous les klaxons médisé par un père sévère
Médusé par la rue et ses branches tentaculaires
J’ai du user de ruse, de chance j’ai pu tant acculer
Tant enculer certes mais j’ai tenté d’attenter
A tout ce que j’ai toujours rejeté, tâté.
Je voulais toujours m’exercer les mains glacées les lèvres gercées
Des boulets rappaient pour percer puis se lassaient, tergiversaient
Renversaient leurs consciences se cachant derrière des versets
J’deversai ma haine ma science relaxant tout ce que je pouvais cracher
A gueuler pour tout légaliser, pour moi l’Etat était odieux
Mes mesures égalisées, je voulais devenir l’égal d’un dieu
La démesure : mon caduc. C‘est en écrivant à l’orée des bois que je devenais facétieux
Mais des meuz’ eurent mon caducée. C’est écroué que je cessai, face aux cieux
D’asséner sans s’interrompre des bastos à une cadence effrénée
Mes assises venaient de se rompre, mes pieds d’argiles de se briser
Mon piédestal s’écroulait, je pouvais me battre mais ma conscience me disait tombe
Personne pour venir en aide, y a plus d’idole dans les catacombes.
Je perdais la foi si je l’avais jamais eu
Je méprisais la voix de celui qu’on nommait Jésus
Isa, si tu m’entend, je prendrais bien une bonne biture
Avant de tendre, prophète factice à cracher sur ta sépulture.
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Enjoy, et n’hésitez pas à critiquez, vu l’heure et le laps de temps ou je l’ai fais, y a sans doute beaucoup de critique à faire… Et avec mon flow, les mesures passent bien, rassurez vous x)