Cette balle a traversé un de ses organes, il poussa un cri puisant comme un orgasme,
Un projectile en or haute gamme, d’une vitesse indescriptible pesant quelque gramme,
Puis l’impact creusant son ventre, lui-même le sais lui-même aurai préféré se pendre,
Pour moi il a osé à l’ennemi se vendre, a Pétrole on la mit a l’amende on la bien centre,
Son dernier geste était la protection, son dernier soupire était pour moi sa bénédiction,
Lui qui les fouter dans la ben dans leur section, lui qui leur marquer des bons dictons,
Personne ma tendu la main, avec lui j’ai fais mon premier pat avec lui j’ai appris demain,
Lui que je remercie qui ne pourra me dire de rien, lui a qui je dois énormément de bien,
Tant de personne soumis à cette tristesse, tant de gens vivant aussi dans une triste tess,
Le sang désormais coule sur le journal de la presse, les chapitres a présent nous presse,
Depuis notre naissance tout s’enchaîne, comme les prisonniers de la vie sans chaînes.

Se taire est le verbe sortant de chaque bouche, se perdre c’est comme rajouter une couche,
Toujours seul au pied du monde louche, toujours seul à baigner en sang dans une louche.

Un sang propre mais la veine mal saine, un vécu dans nos gènes des malheurs à la seine.
Nos marches dans chaque rue est solitaire, une balle puis au sol se contenté de se taire,
Un coups de poing par si par là se perd, on en oubli les coups de mains ici c’est l’envers,
Ressemblant de près à un autre enfer, ici les paroles sont dur ici les mots sont en fers,
Chaque jour une goutte éclabousse sur la terre, les yeux reste sensible et finissent en verre,
Les incendies éblouissent la nuit, un soleil chauffant comme dans le désert qui nous nuie,
Des cendres nous frôlent sans aucun bruit, une odeur de brûler dans nos vies s’introduit,
Les larmes restent, deviennent croupies, si on veut pas les rejoindre faut rester accroupie,
Les genoux fléchissent et mettent fin à ta vie, les balles s’enfonce, ta peau ton corps périt,
Ici tu choisis le bon trottoir, le bon camps la ou y a de l’espoir là ou le rouge se fais boire,
Tu met le pieds à coter pour voir, tu verra que la curiosité est un vilain défaut il faut croire.

Se taire est le verbe sortant de chaque bouche, se perdre c’est comme rajouter une couche,
Toujours seul au pied du monde louche, toujours seul à baigner en sang dans une louche.