La rumeur erre puis nous embrume , un cœur de pierre faudra avoir quand on assume
Ou, on assume pas, j’écoute manau, oui, La Mano Negra, fiesta sinique, en musique la fête j’écume, c’est stratégique, pas de pathétique, casse toi pas de patibulique , ça en jette
Seul ou en clic, mieux qu’un plongeon de faut pigeon d’7m d’une tour statique, brune le teint de la journée qui s’éteint, la lune die bonjour, j’ai cherché a fond l’amour, j’ai crié, pas vue d’issue de secours, rien de magique, pas de cœur ou de poséidon, il a coulé comme un con, je n’ai rien trouvé, ma journée sur rien vite achevée, c’est con, trop con, seul, pas de compagnon .
J’ai cru rire mais l’alu était dans mes champignons
Je planais et sans assu’ l’air frais me fais enlever les boutons
A poil loin du Poêle je suis sobre mais un gorille m’appelle fiston
Au putain j’ai la galle, le sol se dérobe et je me grille c’est pas bon
Je n’aime pas me manger, le voisin est mieux a dévorer
Pas de cannibale étranger, mon canin de canine va apprécier
Je vais devoir me dire stop comme depuis 22 piges aux clopes
Je raconte n’importe n’a oique, mon récit est opaque
J’ai hâte aux chocolats de paques et un bon plat de pâtes
C’est vrai que j’ai cherché l’amour, je ne le vis plus tous les jours
Une bouteille, une baise ou on s’les gèlent et on rentre au four
Comme Astérix aux jeux Olympiques qui rougit comme aux fers pressés
Avatar leurs donnent la trique oh hop ! excusez je me suis égaré.
Je ne reviendrais pas parce que comme Terminator j’ai terminé, le
Terminus est arrivé, des rythmes si et là déversé, Warrior je suis eh ouais.