Bibjah le petit chien qu’a perdu sa maîtresse, bip quand tu passes dans la tess,
T’as le droit au test et au reste, t’était tenus par une laisse maintenant tu te baisses,

Le regard dérivant vers le coin du trottoir, va y petit trotte là bas j’y suis vas voir,
Donne ta bave pour coller l’OCB et part, bibjah ramène le shisha et passe au parloir,

T’as envi de croquer la barre, on te la trop lancer dans la décharge pour que tu te barres,
Tu restes solitaire sans compter ton pote Babar, avoue il t’a raconté trop de bau bars,

T’était genre le chien vagabond, jamais en échauffement toujours entrain de faire des bonds,
Le caniche chaud fumant les yeux ronds, drogué d’esprit qu’on retrouvé dans les wagons,

Plutôt sur les railles, un jour le train va déraille ta peau deviendra comme l’âne de la maille,
Fini le pommé qui manger de la paille, qui dormait à la belle étoile en faisant l’épouvantail,

En passant devant toi on rentrer dans l’épouvante, on te taille alors arrête de te vante,
Pas loin d’être un animal narcissique qui se pète des vent, qui se kiffe puis un jour PAN PAN.