J'aurais voulu t'écrire quelques mots,
Afin de chasser tous tes maux,
Hélas, la source est tarie,
Mon cœur vivant en autarcie
Cloisonné dans ma prison de verre
Avec pour seul compagnon Dante et son enfer,
J'ai omis de m'ouvrir à ce monde,
Si bien que je me trouve immonde...
Et bien plus encore,
La vie petit à petit me ronge,
Mon bonheur se trouvant dans mes songes,
Quand on y songe, notre existence n'est qu'un mensonge,
Pessimiste dans l'âme,
Suite à de nombreux drames...
Je ne me complais point en tes larmes,
Je veux prendre ta main,
T'emmener vers le plus loin,
Te faire oublier tout tes chagrins,
Et bien plus encore,
L'amour, ce sentiment fusionnel,
Que l'on dit être éternel
Mais, hélas, bien des anges si sont brûlés les ailes...
J'ai reclus dans mes stances,
Les médisances et toute cette souffrance,
Qui me pousse vers l'errance,
Aimer n'est pas une science,
C'est renouer avec l'innocence de l'enfance
Être de grands enfants,
Des amants...
Et bien plus encore,
Ton sourire scintillant, illuminant ma journée,
Ces moments incandescents partagés
Ta peau douce me faisant frissonné
Cette nuit, j'aurais voulu la préserver
Stopper Apollon dans sa course,
Afin que nous ayons que pour seul témoin, la Grande Ourse,
Ne sois pas triste, ceci n'étant, je l'espère, que les prémisses
A l'instar des roses qui persistent et fleurissent...
Je suis là pour toi,
Pour te rendre heureuse, pleine de joie,
Et bien plus encore,