Avoue c’est dure de vivre parmi les ordures, quand il pompe l’or dur,
Sans savoir que toi t’es pareille, à faire le mendiant pour de l’oseille,
Ta vie se résume à des détails, tu vivais à la campagne au milieu du bétail,
Petit tu pissé loin en visant a côté, le cote cassé seulement pour te branler,
Y a un temps pour tout, comme pour compter tes coups de batte partout.

Tu résume t’as vie avec une feuille de PQ, restant sur la victime de la rue,
T’avoues que l’argent t’a rendu malhonnête, et t’es qu’un clasheur du net,
Tu vie dans le vide, par ce que t’es délaissé et le monde te laisse un bide,
T’as cru avoir assuré, tu nous attriste tellement que ton passé est censuré,
Ici la haine se fou de toi elle ricane, son rire sadique te fais mal au crâne,
Tes yeux gonfle comme tes chevilles enflent, t’as cru être notre exemple,
T’es le contraire du mec craquant, dès que t’ouvre la bouche t’es barbant,
T’es le vieux ga rasoir qui rêve de baiser Barbie, alors qu’il barbe à vie,
T’as fais l’école des bonnes sœurs, comme quoi ton passé fait mal au cœur,
T’as toujours était le petit saint, alors que tu fantasmes sur des gros seins.

Tu viens de la mafia des bouseux, comme j’ai précisé tu cultivé mais d’la beue,
Les yeux rouges tu fait peur à un gosse, déjà tu fais crise avec ta tête de boloss,
Tu pioches dans la gabelle de ton pitbull, sa bave te fait faire des petites bulles,
Même ton cabot te la fait à l’envers, on se demande pourquoi il s’appelle robert,
Aussi intelligent qu’un dictionnaire, même lui trouve l’anus mais ne lâche pas l’air,
Garde la pèche mais fais gaffe à ta poire, car c’est le reflet de King Kong dans le miroir,
Evite d’ouvrir la porte quand elle fait Ding Dong, celui qui sera derrière fera un bond,
Tu fais peut-être partit des poids lourds, mais songe au régime arrête fais pas le sourd.

Bon allez j’abrège car j’use mon clavier pour ta gueule, PAN PAN au boule,
Alors maintenant man planque toi et roule, pour pas être bombardé fou ta cagoule.